La rédaction
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Ceux qui font Entreprise romande
Véronique Kämpfen, rédactrice en chef
«Etudes en lettres à Berne, semestre universitaire aux Etats-Unis, marketing: le chemin qui mène à la rédaction en chef d’un journal associatif et économique n’est pas toujours linéaire. C’est mon amour de la langue française et de l’écriture, ma curiosité pour les nouvelles tendances et mon envie de m’engager en faveur des entreprises et des PME qui font que je me sens bien à la tête du bimensuel Entreprise romande, que je dirige depuis 2010. L’équipe, composée de fortes personnalités et de belles plumes, est une motivation supplémentaire à exercer ce beau métier. »
Catherine Garavaglia, secrétaire d’édition
«C’est fin 1993, à mon retour de Suède, où j’ai passé une année en famille, que j’ai rencontré Didier Fleck, rédacteur en chef d’Entreprise romande. J’avais une licence en sciences politiques - réalisée après huit ans passés dans le domaine médical et un détour par des études de langue chinoise à l’Université de Genève- et étais attirée par l’écriture. Comme je suis curieuse de nature, le journalisme était une de mes pistes de reconversion professionnelle. J’ai commencé à Entreprise romande comme pigiste, avant d’y être engagée comme journaliste en 1997. Aimant varier les plaisirs, j’ai suivi une formation de graphisme pour pouvoir prendre les rênes de la mise en page, dès le début des années 2000, puis la responsabilité de l’édition en 2010.»
Pierre Cormon, journaliste
«C’est la musique qui m’a conduit à Entreprise romande, début 2000, et plus précisément le oud. J’étais tombé amoureux de ce luth oriental alors que j’étais délégué du CICR au Moyen Orient. Devenu journaliste, j’ai décidé de l’étudier dans une école du Caire, par intermittence. Je cherchais un employeur qui me laisse m’organiser de manière souple pour cela. La FER Genève a accepté et je lui en serai toujours reconnaissant. Mes ambitions musicales se sont évanouies depuis longtemps et mes ouds prennent la poussière, mais je travaille encore à Entreprise romande. Si la musique m’y a amené, l’attachement au milieu des petites entreprises et la possibilité de pratiquer le métier que j’aime dans d’excellentes conditions m’y ont retenu.»
Flavia Giovannelli, journaliste
«Je suis arrivée à la FER Genève en janvier 2010, comme journaliste, après un parcours déjà long dans ce métier, qui ne cesse de nourrir ma curiosité naturelle. Après avoir fait mes classes dans la presse romande quotidienne (24 Heures, Tribune de Genève), j’ai eu la chance de vivre une belle parenthèse: je me suis occupée pendant quatre ans d’un projet touristique à l’Ile Maurice. De retour en Suisse en 2005, mon intérêt pour la presse économique m’a amenée à la tête d’un magazine horloger. Depuis mon engagement à la FER Genève, j’apprécie la variété des thèmes que nous traitons. Côté hobbies, je citerais les voyages, le yoga, lire un livre au coin du feu après une journée de ski et la gastronomie: rien n’est incompatible!»
Grégory Tesnier, journaliste
«J’exerce le métier de journaliste pour Entreprise romande depuis 2004. Mes sujets de prédilection? Innovation, entrepreneuriat, ressources humaines, communication, formation. Ces thèmes sont en relation avec mes activités d’enseignement, depuis 2006, à la Haute école de gestion de Genève. J’y codirige le diplôme d’études supérieures de responsable communication. Docteur en sciences de la communication et des médias et au bénéfice de trois masters, en sciences politiques, en relations internationales et en lettres modernes, mes cours portent notamment sur la stratégie de communication interne et externe des entreprises, la communication interpersonnelle, la communication de crise, l’innovation ou le design thinking. Pour me ressourcer, quoi de mieux qu’un voyage à Florence ou à Paris en faisant un détour en pleine nature ou dans un bon restaurant?»
Steven Kakon, stagiaire RP
«Exercer le journalisme représente à mes yeux le métier idéal pour me pencher sur la complexité du monde dans ses aspects politiques, économiques et sociaux. Il anime mon esprit depuis longtemps. Diplômé d’un bachelor en science politique de l’Université de Lausanne et d’un master en Etudes européennes de l’UNIGE, mon goût du métier s’est affirmé avec le temps. Un premier stage au sein d’une rédaction parisienne, exclusivement numérique, m’a permis d’acquérir des compétences web. Puis, après avoir travaillé dans la communication et les relations médias au Pouvoir judiciaire genevois, je suis entré au 24 Heures en tant que pigiste pour la rubrique vaudoise, avant de rejoindre la rédaction numérique de Tamedia. Toujours animé par l’envie de transmettre, j’ai intégré la rédaction d’Entreprise romande en mars 2024.»
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