#Associations L’assemblée générale du second œuvre a eu lieu le 25 mai.
«Le second œuvre représente plus de 4000 emplois et compte douze associations professionnelles au sein desquelles plus de deux cent cinquante entreprises ont adhéré. C’est un pilier important du secteur du bâtiment, avec les métiers techniques du bâtiment et le gros œuvre», a rappelé Serge Hiltpold, président de la Fédération genevoise des métiers du bâtiment (FMB) et du Conseil du second-œuvre, dont sept associations ont leur secrétariat à la FER Genève. «Nous avons connu de nombreuses difficultés en 2022, mais notre économie a été résiliente. Les entreprises du bâtiment n’ont pas manqué de courage et de convictions. Nous pouvons voir l’avenir positivement, même si certains écueils demeurent: pénurie de personnel, marchés public, travail au noir, pressions sur les prix et délais, pour n’en citer que certains.»
Les défis sont nombreux. «Ils vont de la préservation de conditions cadre acceptables, au développement maîtrisé, en passant par la formation professionnelle, les besoins en main-d’œuvre qualifiée, la valorisation de circuits courts, la transition énergétique, l’assainissement du bâti, le renforcement de nos infrastructures, etc.», a ajouté Nicolas Rufener, secrétaire général de la FMB, qui se réjouit de l’implication croissante de la fédération dans le débat politique, qui porte ses fruits, puisqu’elle est entendue au niveau fédéral, par la voix de constructionromande et constructionsuisse, et au niveau cantonal. «La FMB est prête à œuvrer de façon constructive avec les nouvelles autorités cantonales et a dégagé des priorités pour l’industrie de la construction - aménagement du territoire, marchés publics, mobilité, transition énergétique, travail au noir, etc. - qu’elle se fera fort de défendre et promouvoir», a-t-il annoncé.
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