#Ecoles privées L’Association genevoise des écoles privées (AGEP) confirme un climat serein dans les quarante-huit établissements membres de l’association.
Rappelons qu’au printemps dernier, l’AGEP avait publiquement exprimé son mécontentent à la suite de deux points précis: l’annonce par le Département de l’instruction publique (DIP) d’une refonte complète du fonctionnement des écoles privées à Genève (alignement, inacceptable pour l’AGEP, de l’enseignement privé sur le fonctionnement de l’enseignement public); d’une façon plus précise et sans échange préalable, l’annonce d’une nouvelle date butoir de début de scolarité pour un enfant, fixée par le DIP à trois ans au 31 juillet de l’année civile. «Or, dans les écoles privées concernées, les enfants ont l’obligation de commencer leur cursus (filières française et allemande ou dans le cadre de méthodes pédagogiques spécifiques) à l’âge de trois ans révolus durant l’année en cours», soulignait l’AGEP. Plusieurs centaines d’enfants auraient dû différer leur début de scolarité. Ils auraient par exemple dû être replacés en crèche, «dans un canton où près de trois mille places manquent déjà», comme le notait Monique Roiné, directrice de l’Institut international de Lancy et membre du comité de l’AGEP.
Finalement, des solutions ont pu être trouvées, notamment grâce à l’action de plusieurs députés au Grand Conseil. Surtout, le dialogue avec les autorités politiques a été renoué. Dans ce climat plus constructif, la rentrée 2023 se précise avec d’autres nouvelles positives: les effectifs demeurent très satisfaisants et confirment le succès des écoles privées, tandis que plusieurs projets pédagogiques innovants sont en cours dans plusieurs établissements.
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