Ce modèle de transmission d’entreprise qui incarne continuité et confiance peine à s’imposer en Suisse. En cause, notamment, les freins financiers majeurs auxquels il se heurte.
Taxer très lourdement les successions de plus de cinquante millions de francs, comme le proposent les Jeunes socialistes, ferait perdre des recettes fiscales considérables.
Fort de ses années d’une implication intense dans le dossier Suisse-UE, Philippe G. Nell, ambassadeur honoraire et vice-président de l’association La Suisse en Europe, livre ses attentes.
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