En réaction au modèle de la licorne, ces start-up visant une valorisation spectaculaire, d'autres modèles d'entreprise privilégient la responsabilité sociale. Le contexte actuel complique ces ambitions.

Kenza Benhima est professeure ordinaire et co-directrice du département d’économie de l’Université de Lausanne. Intéressée par les tendances de fond, spécialiste en macroéconomie, elle a été directrice académique de l’Institut CREA. Ses champs de recherche vont de la croissance à la finance internationale en passant par les flux de capitaux et l’économie des pays en voie de développement.

Un passage en revue de plus de cinq cents études sur le sujet montre qu’elles relèvent généralement plus de l’opinion que de la science.

Une constellation de penseurs et de militants façonne depuis cinquante ans les courants critiques de la croissance.

Ancien, mais plus que jamais d'actualité, la notion de décroissance interroge nos modèles économiques et sociaux. Il convient de définir ce qu’elle est ou n’est pas.

La décroissance ne se contente pas de remettre en question la consommation à outrance, elle invite aussi à repenser notre lien au travail. Faut-il travailler moins pour vivre mieux et répartir l’emploi plus équitablement ou cette idée masque-t-elle des contradictions économiques majeures?

Le couperet des 39% de droits de douane pour les exportations en direction des Etats-Unis est tombé. Les entreprises concernées — dont des membres de la FER Genève — doivent déjà s'adapter à cette nouvelle réalité aussi punitive qu'incertaine. Tour d’horizon.

La nourriture à l’emporter génère de quantités considérables de déchets. Des initiatives combattent ce phénomène.