En réaction au modèle de la licorne, ces start-up visant une valorisation spectaculaire, d'autres modèles d'entreprise privilégient la responsabilité sociale. Le contexte actuel complique ces ambitions.

En 2025, Genève sera l’hôte de cinq matchs de l’Euro féminin, une compétition aux retombées prometteuses pour l’économie locale et nationale.

Les Assises de la durabilité ont permis de dégager quelques conseils simples, à partir des témoignages de trois entreprises s’étant lancées dans une politique de responsabilité sociale.

Philippe Fleury, directeur général de la FER Genève, insiste sur la vocation de la Fédération à offrir des services à ses membres.

Avec le label B Corp, mondialement reconnu, la coopérative se dote d’un précieux outil de communication pour ses 75 ans.

Les visites d’entreprises ont le vent en poupe. La France a structuré la filière et fournit un appui à ceux qui aimeraient s’y lancer. Pas la Suisse.

Qim info est une société de services informatiques qui fêtera ses vingt ans. Le trio de fondateurs insiste beaucoup sur les relations de confiance.

OSEO Genève s’engage à valoriser les compétences pour rapprocher les chercheurs d’emploi du marché du travail. Une réponse aux besoins de réinsertion qui augmentent.