L’immigration est un sujet de controverse entre les Etats de l’Union européenne. Elle touche le cœur de leur souveraineté, mais les oblige à coopérer.

Le phénomène a été étudié par un chercheur de l’Université de Genève, notamment dans les milieux informatiques. Il en a tiré quelques constats.

Face à la pénurie de travailleurs qualifiés en Allemagne, qui compte deux millions de postes vacants, le gouvernement d'Olaf Scholz supprime les obstacles pour la venue de main-d’œuvre étrangère.

A Genève, une rencontre des représentants de cent cinquante-deux Etats a permis des échanges stimulants.

Les personnes issues de l’asile sont souvent très motivées au travail, comme l’ont montré plusieurs témoignages, lors du lancement d’une brochure démontant les idées reçues à leur sujet.

Les personnes fuyant la guerre en Ukraine jouissent dans l’ensemble d’une bonne formation. Différents obstacles rendent cependant leur intégration sur le marché du travail difficile, comme leur manque de connaissance des langues locales.

Les migrants qualifiés se heurtent à de nombreux obstacles sur le marché du travail suisse.

Le gouvernement roumain est inquiet: beaucoup de Roumains, dont beaucoup de jeunes, ont quitté leur terre natale.

Près de 11% de la population suisse vit à l’étranger. Ces ressortissants gardent un lien étroit qui a son importance politique et démocratique.

Pénurie de main-d’œuvre: un nouvel obstacle à affronter.

La faune et la flore sont perturbées par la lumière artificielle, et les zones où elle n’est pas perceptible sont de moins en moins nombreuses.